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14 mai 2006

Urbanhenge

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«Si nos dieux, lui aussi. »

 

 

 

 

 

 

 

 

Le premier paragraphe me parait difficile dans un commencement où on doive
conciderer une sorte de désert symbolisé par la feuille blanche
posée sur le bureau devant, ---dans le quel interprête certaine nécessité
artistique, traditionelle, ou bien technique--- à assumer sa vérité, tantôt
en secret, tantôt en su où, point basique se fonde.

Chaque nouvelle activité dont m'insert la nature de ville, souvent donne le
résultat de, remuer à l'interieur tous les substances chronologiques
hiérarchisées par son ordre contemplatif ---que je l'assume--- hérmétique où
considère identique homogénique
kaléidoscopique , brouille assez fragile
leur calme, change sa proportion  par les chocs qui ne correspondent pas
forcément par rapport à son effet visuel réfléchissant.

Les capitaux sont hétérogènes, dans un bocal idéalement hérmétique cherche
toujours son équilibre perdue et la sortie de sa force spirale par l'évit freinal,
climatique, asmathique sinon déchronologique un local perd sa substance
permenante et remplacé par d'autre non-harmonial, continuation sur-aléatoire
sur cette terre où, on entend mieux les bruits, vibrations du future et la
trace de vie qui date sur meusure d'échelle ihumaine incaptable.. tellement
incaptable que certane recherche dévéloppe telle technique scientifique,
pour reculer notre(leur) connaissance d'échelle Précambriaque, pour suivre
la vitesse
physicale, septe et demie tour de terre par secode et les records
extrèmes ensuivants
qualificatifs illimités..

 

Ce n'est pas innimaginable que le técnique d'art montre serieux développement
dans un île enfermé, par example fabrication verrier de Murano ---favorit empérial
du Japon même--- (il y a peu de moment il était même interdit de travailler les
filles dedant et puis pour conserver leur téchnique ils devaient imputer leur
sacrés bras pour sortir de île) je ne sais même pas ce qui imposai autant
d'exigeance d'expression maintenant assez calmé par "momifié" de globalisation
et par valeur "touristique"--- come ce que l'on voit dans le vitrine de la rue à
Venis--- dont, surement craigniai le lieu de chantier à l'époque..

 

Sur boulevard sur lequel situai ma chambre où je dormais toujour mon enfance
en écoutant de pneus et d'asfalt qui font la bruit
berceau freinable diffusive,
et phares voiturales la nuit, les batiments montent baissent sans cesses, sinon
entre cela il y a les
terrains innoccupées vers mon adolessance, prouvée
sientifiquement ces lieux,
locaux archéologiques de l'époque Jomon où on voyait
les étudiants univercitaires qui creusaient la terre avant chaque traveaux de
batiment. Il me reste le lieu imaginaire de voir ce lieu où les étudiants enlevaient
la terre rousse jusqu'à la terre jaune un ou deux metres en dessous, guide à se
montrer le géographie.

Dans la matinée, passai le grand parc en face, pour voir les animaux du matin,
pas du tout aménagé comme le parc parisien de maintenant. Donne sur le
boulevard l'entrée qui sentai de l'herbe, à l'époque les arbres se hérissaient
simple cloture de demie-circle peint et craquai par son abime couche par couche
des différantes couleurs thématique de parc publique barriai de chemin de
cailloutis blancs, en automn on sent fort des grains de noix de ginkgo et en
printemps tous ces chemins sera couverts des sallariés fête en dessous des
immences serisiers qui symbolise ce parc.

Dérierre de parc où les nombreux vieux gens font le entrainement matinal de
Tai-chi-chuan il y avait (il y en a encore) une cascade artificielle ou se trouve
les animaux qui vivent dans la terre humide par pauvre fréquance de récéption
solaire, les gastéropodes mollusques sans coquille , fines noires brillantes
glissantes avec sa tête de marteaux, les petis amphibiens verts, les crustacés
terrestre avec un exosquelette rigide qui deviennent en boule comme
les tatous, en dessus des feuilles mortes et des rochers vertes, enmoussées
quand on la tourne ---subitement impoliement---, trouvais aussi des chilopodes
un éspèces de petites arthropodes myriapodes nortune avec des nombreux
segments porte une paire de quinzaines pattes et les larvarons blancs mous des
coléoptères, collouent un local en paix, leur brillances de ses courbe, vitesses
de réfléxion naturel et me parait correcte dans un thèrme de chaîne alimentaire
forêstière en plain nature, même si c'est un environement artificielle.

 

 

Il se peut que c'est comme cela le moment tectonique où provoque de faire
son
évolution, on voit les gorilles dans le zoologique passent leur temps à se
cacher leur visage dans le sac en lin comme
security-blanket de Linus Van Pelt
par la gène d'être vu par visiteurs, par défence en soi,  certain passe leur
journée déprimante devant la télé dans sa chambre. Les gorille ---selon un
écrivain qui en parle--- il faut pas en prisonier comme celà les animaux de
dignités. (: la dignité n'as pas de rôle dans la nature mais c'est un therme
imposé dans un cadre "humain" quand on accépte une hiérarchie de valleur,
profit sociale centrale).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je trainai souvent avec un ami de batteur de jazz les musiciens comptaient pas
mal pour moi de me rythmer, syncoper, canaliser une poème urbaine quotidiene.
On passai le temps à célébrer le percussions arabe leur résonance de cymbale
d'Istambul on se mettai souvent à
Mironga, le café bar de tango sombré servait
de
Guillotine bières foncées délicieuses européenes genre hollandaises, belgique,
avec les verres en bronzes un des rares endroits à Tokyo.
Un célèbre
écrivain tokiyoit faisait d'harakiri pas loin de cet endroit l'agence de
défence MacArthurien à Shinjyuku (Sendagaya) on va pas  casser la tête pour
lui ---l'auteur parisien de
verseau de rue Payenne même signe que son ami
automatiste de Tinchebray, comme il a du se démotiver de son absence pour
éditer son livre à cet époque--- apporter à boire l'eau minérale et du saké dans
la nuit, les rues sont éclérées des épiciers si on voit la négative de
dévéloppement de photo la ville sera toute noire comme si on tachai bonne
doses de l'encre de chine ce sera pas pareille par rapport à celle de la
campagne.
Metro, c'est une sorte de piston, l'éspace cilindique en betton
ou bien les cordes en touffe d'élléctricité exposées dans lequel les wagons
passe et se croisent de pile-poile, aérage tourne pour le pression d'air
vibration commun sousterrain sonnor didgeridoo diffusif l'odeur d'impression
environnal 
éléctrostatiques, produit cosmétique de cheveux, cologne masculin
et cuir de boeuf pour le sacoche impermeable, shampoins des lycéens,
chocolat,
chewing-gum, produit de nettoyage pour les vitrines, murs, sols..
déplacement aérien transport acheve
alléatoirement le petit typhon artificiel
dans un coin le sac plastique, paquet de lentille jetable soulèvent.
Régulièrement l'assenceure ouvre sa porte metalique polie la
voix feminine
synthètique indique son départ à l'étage en dessous.




 

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